Pour le respect
de la personne, certains détails ne sont pas diffusés.
2003 -
Charleville-Mézières
Un homme d’une
trentaine d’années s'est effondré dans
la rue après s'être plaint de douleurs thoraciques.
En arrêt cardio-respiratoire, des témoins pratiquent
tout de suite le massage cardiaque et alertent
immédiatement
le SAMU.
Les sapeurs-pompiers et une équipe médicale
peuvent prendre
en charge le patient très vite.
Le défibrillateur est utilisé 1 fois… 2
fois… 3 fois… 4 fois…. 5 fois… plus
encore… C’est efficace ! Le cœur
repart !
Une fois à l’hôpital, un infarctus massif
est confirmé. Il est transféré à Reims
où il reçoit des soins spécialisés
dans un temps record.
Il bénéficie d'une dilatation des artères
du coeur dont l'occlusion était à l'origine
de l'infarctus, lui-même à l'origine
de l'arrêt
cardio-respiratoire avec fibrillation ventriculaire.
L’efficacité de la chaîne de secours est
démontrée une nouvelle fois : Le massage cardiaque
des témoins, l’appel du SAMU, l’intervention
des équipes
de secours, de l’anesthésiste réanimateur
et du cardiologue lui ont permis d’être sauvé.
Huit jours après, son état de santé lui
permettait de sortir de l’hôpital et de rejoindre
sa famille.
2007 - Charleville-Mézières
Un homme d’une soixantaine d’années fait
un malaise et tombe à l’eau. La victime est
hissée hors de l’eau. Il est en arrêt
cardio-respiratoire. Le SAMU est alerté. Un défibrillateur
est utilisé.
La fibrillation est confirmée, 2 chocs sont délivrés.
S’ensuivra un massage cardiaque demandé par
le défibrillateur.
Une minute plus tard, après une analyse du cœur
faite par le défibrillateur un 3ième choc est
délivré.
A nouveau une série de massages
cardiaques est demandée par le défibrillateur.
Une minute plus tard, après une nouvelle analyse du
cœur faite par le défibrillateur un 4ième
choc est délivré.
Le massage cardiaque est repris, il ne faut jamais abandonner
alors que les secours sont en route.
Le SMUR, dépêché par le SAMU, arrive très
vite sur lieu mais ça parait très long pour
les secouristes.
Le cœur bat mais il respire mal.
Les soins sont entrepris
sans attendre avec efficacité. L’état
de la victime se stabilise et peut être transporté à l’hôpital.
Son état mérite une surveillance particulière
car il avait des antécédents cardiaques. On
apprend plus tard qu’en début de journée
il ne se sentait pas bien avec une gène respiratoire.
Aujourd’hui ce Monsieur va bien et est suivi par son
cardiologue.
2008 - Sedan - Football
- Le joueur Marco Randriana victime d'un malaise cardiaque Mieux qu'un récit, une vidéo :